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Critique Dragon Ball Super – Tome 18 – Bardack, le père de Goku

Caractéristiques de l’album:

Ça commence comme ça:

Alors que Goku et Vegeta sont en bien fâcheuse posture face à Granola, Monite intervient et révèle au Céréalien ce qui s’est réellement passé, quarante ans plus tôt, lors de l’attaque des Saiyans… 

Ce que nous en pensons:

Alors que la tension était à son comble, le duo Toriyama/ Toyotaro nous prenait à contre-pied avec l’intervention de Monite, le vieux Namek vivant avec Granola. Un rétropédalage surprenant qui trouve sa légitimité dans ce 18e tome. 
En effet, le récit de l’attaque de la planète Céréale par les Saiyans nous prouve d’une part que Granola a toujours vécu dans le mensonge et d’autre part que la bonté d’âme de Goku lui vient de son père.  

Pourtant, si le scénario semble faire une pause le temps d’un flash-back, cet album est pourtant plus excitant que le précédent. L’attaque des singes géants est, d’un point de vue graphique, l’une des plus violentes que l’on n’ait vues dans Dragon Ball et cela toutes sagas confondues. Une tuerie qui rend le geste de Bardack encore plus majestueux. 

De plus, Akira Toriyama nous réserve dans ce tome un de ses fameux twists dont lui seul a le secret. Un revirement de situation qui permet à Toyotaro de s’en donner à cœur joie avec des combats toujours plus réussis. La puissance des attaques, la vitesse des personnages, tout est parfaitement retranscrit grâce au coup de crayon du mangaka.  

Depuis l’arrivée des Heaters dans Dragon Ball Super, nous retrouvons l’esprit de la saga Z, période Freezer. Un cocktail d’action, d’émotion et surtout de coups tordus et autres fourberies. Un mélange détonnant qui fait de ce tome l’un des plus intéressants que nous ayons lu depuis longtemps. De plus, la fin de cet opus nous promet déjà une suite tout aussi exceptionnelle.

Cette chronique a été réalisée à partir d’un album offert par l’attachée de presse du groupe Glénat .

Notre note:
4/5

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