Ceci nous amène au deuxième point fort du film, son casting. Si Sami Bouajila (Indigènes, Omar m’a tuer…) est époustouflant dans le rôle de ce père désemparé par la double épreuve que la vie lui inflige, Najla Ben Abdallah (St. Augustine: Son of her tears) est quant à elle criante de vérité dans le rôle de Meriem. Un personnage pourtant complexe à interpréter pour une actrice presque novice. En effet, tout au long du film, tout comme Fares, Meriem passe par toutes les émotions se montrant tantôt forte, tantôt perdue. Une palette d’émotions que Najla Ben Abdallah parvient à retranscrire avec une justesse qui force l’admiration.
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