En effet, le scénariste continu de nous narrer une histoire qui, comme tout conte qui se respecte, s’avère aussi magique que glaçante. La pauvre petite Blue va de nouveau devoir affronter ses peurs et chaque nouvelle rencontre va être l’occasion pour elle d’en découvrir un peu plus sur la nature humaine de ce qu’elle a de plus beau à ce qu’elle a de plus mauvais. Dès lors, Blue et le pays des songes devient une véritable allégorie dont nous n’avons, pour le moment, qu’une vision assez restreinte. Davide Tosello ne nous donnant volontairement ici que quelques pièces de l’énorme puzzle qu’est sa série.
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