Cependant, au-delà du côté satyrique, cet album est truffé de clins d’œil et autres références à divers univers autres que la politique. Outre les pokemon, que nous avons déjà évoqués, nous pourrions citer l’exemple d’un chapitre entier rendant hommage, de façon totalement délirante, à l’une des œuvres phares du réalisateur John Carpenter. Vous l’aurez donc compris, le scénariste Nicolas Juncker ne fait pas dans la dentelle et tire à boulets rouges sur tout ce qui bouge. Un humour décapant porté par des illustrations tout aussi mordantes.
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