Si une chose est sûre, dès les premières planches de Crazy Gun, c’est que le duo Steve D et Jeff n’est pas là pour faire dans la dentelle. Entre un show poisseux et une fusillade qui ferait passer la série S.W.A.T pour Bonne nuit les petits, les deux compères frappent très fort.
Une ligne de conduite que Steve D développe jusque dans la psychologie de ses personnages. Une bande de justiciers autoproclamés, volontairement caricaturaux qui n’hésitent pas à tuer afin de défendre leurs idéaux. Le clou du spectacle étant de loin SuperWhiteMan, un adepte de la suprématie blanche nostalgique du troisième Reich.
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